3.8.12

Paul et Virginie (Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, 1787)


"Ainsi croissaient ces deux enfants de la nature. Aucun souci, n´avait ridé leur front, aucune intempérance n´avait corrumpu leur sang, aucune passion malhereuse n´avait dépravé leur coeur: l´amour, l´innocence, la piété, dévelopaient chaque jour la beauté de leur âme en grâces ineffables, dans leurs traits, leurs attitudes et leurs mouvements."

No hay comentarios: