30.1.09

Haruki Murakami (2007). What I Talk About When I Talk About Runnig

In 1982, having sold his jazz bar to devote himself to writing, Murakami began running to keep fit. A year later, he'd completed a solo course from Athens to Marathon, and now, after dozens of such races, not to mention triathlons and a slew of critically acclaimed books, he reflects upon the influence the sport has had on his life and on his writing. This revealing memoir covers his four-month preparation for the 2005 New York City Marathon, emerging a cornucopia of memories and insights: the eureka moment when he decided to become a writer, his greatest triumphs and disappointments, his passion for vintage LPs, and the experience, after fifty, of seeing his race times improve and then fall back. (amazon.co.uk)

Alastair Campbell (The Guardian, July 2008):
"Whatever respect I had for Haruki Murakami as a writer - which is considerable - it is as nothing to the depth of my bow down before the Japanese novelist on discovering that he has run an ultramarathon. His description of the physical and mental agonies as he struggled to complete the 62-mile course, followed by the near-religious experience of the last few miles, when he knew he was going to finish, is one of the highlights of what he calls "a kind of memoir". Non-running readers of his novels will probably ask: "Why on earth did he run 62 miles when he knew it would hurt so much?" Runners ask a different question: "Why have I never done that?"
He describes well the brutality of the "wall" that hits many runners a few miles out from the end of a marathon. The near-insanity of the running mind is captured in his first marathon, which he ran from Athens to Marathon with only a photographer for company. He is good on how a hill can seem nothing on a short training run but loom like a mountain if it comes at the wrong time in a race. And all runners will identify with the devotion to certain musicians who help with the endurance of long training runs, and his rough conversations with muscles that do not want to operate as instructed by the will and the brain: "I have to show my muscles who's boss."
The style is very clipped, many of the sentences short, so you feel the pace of the runner skipping through the text."

25.1.09

gettin´into shape 2

"Running every day is a kind of lifeline for me, so I´m not going to lay off or quit just because I´m busy. If I used being busy as an excuse not to run, I´d never run again. I have only a few reasons to keep on running, and a truckload of them to quit. All I can do is keep those few reasons nicely polished." (H. Murakami´s What I Talk About...).

24.1.09

gettin´into shape 1

el cuerpo se queja y no me deja entrenar con normalidad, así que a falta de crónicas de carreras satisfaré mis ganas de escribir con tonterías de otro tipo; espero no sean tenidas en cuenta;
el próximo 1 de marzo tenemos elecciones en euskadi y 1 vez + no podré votar;
¿por qué si eres vasco y vives en Caracas puedes votar, mientras que si vives en Madrid no puedes?
de todas formas desde la ley de partidos de 2002 los derechos civiles están a la baja, con lo que dudo si merece la pena colaborar con 1 sistema de tan pobre calidad democrática; en fin, es lo que hay...

18.1.09

Entre les murs

Comédie dramatique. VO (st cast)
Réalisé par Laurent Cantet, 2008.





François est un jeune professeur de français dans un collège difficile. Il n'hésite pas à affronter Esmeralda, Souleymane, Khoumba et les autres dans de stimulantes joutes verbales, comme si la langue elle-même était un véritable enjeu. Mais l'apprentissage de la démocratie peut parfois comporter de vrais risques.

Voilá ce que dit dream popy: "J'étais élève dans un collège ZEP, dont Bégaudeau ne devait rien avoir à envier, il y a trois ans de cela. Je suis vraiment retourner en arrière! Des Esmeralda, des Souleymane, j'en ai eu chaque années. L'interpretations est d'une justesse deconcertantes et le recul que m'as fait prendre le film sur la situation de mon "contexte" est vertigineux. Le sujet étant des plus délicat, Cantet ne tombe pas dans le cliché (ouf!) que ce soit des élèves ou du profs. Pour les élèves nous avons une panoplies de personnages d'une étrange crédibilité (ceux qui ne sont pas d'accord ne l'ont tout simplement pas vécu). Pour le prof, l'interpretation de Bégaudeau est, selon moi, des plus interessantes car nous sommes aux antipodes du profs idyllique. Ce prof est maladroit, ne sait jamais vraiment comment reagir et n'interesse pas ces eleves. Le propos de la situation d'echec du systeme reste d'une objectivité relative mais est d'une rethoriques plutot genante à mon gout helas. Du moins c'est ce que je pensais jusqu'à ce que je vois les autres critiques, personnes n'as percu les memes intentions dans ce film, la meme "morale" (s'il yen a une): certains voit du politiquement correcte, d'autres du mepris envers le systeme éducatif... Cette ouverture fait plaisir, tant les coeurs s'ouvre et les masques tombe face à un sujet traité aussi justement."

16.1.09

Urte berri on!


Uahh acabé la temporada 08 a lo grande con 2 carrerones en Donostia (B/SS y maratón).

El cuerpo suplicaba 1 descanso y diciembre lo he dedicado en exclusiva a darle gusto a la gula: he comido de todo y en exceso, vorazmente, e incluso prestando + atención a la comida que a los acompañantes.

La vuelta a la actividad con el nuevo año va despacito. Los pies se resisten y están compinchados. Cuando no se queja 1 lo hace el otro. Así que con paciencia voy haciendo mis cositas en pequeñas dosis: trote cochinero, bici estática o por el monte cuando me llaman los amigos (foto: ene4 las matas), tenis, gimnasia, pesas, elíptica... y sobre todo veo muchas pelis en francés (abajo están los posts).

Me fastidia no poder darle cañita a la carrera. Pero no voy a olvidarme de que corro principalmente porque me sienta bien, así que lo + importante no es volver a atacar mis MMP sino recuperar fuerza y salud.

Poliki-poliki espero empezar pronto la pretemporada y seguir disfrutando este año de los compis, los entrenos, las carreras, los viajes... urte berri on! ¡feliz año!

15.1.09

Le Parfum d´Yvonne


Drame, romance. VO (st fr)
Réalisé par Patrice Leconte, 1994.

Comédie romantique, mystérieuse et sensuelle située sur les bords d'un lac entre la France et la Suisse ou, à la fin des annees 50, des personnages vont se croiser, s'entrechoquer et s'aimer.
Evocation sensuelle d'un amour perdu, le Parfum d'Yvonne est un film inégal, un film qui a les défauts de ses qualités. Trop de mystère et d'effets de flou envoutent un moment puis finissent par lasser et perdre le spectateur (warren).

12.1.09

¡Toma ya qué sorpresón, aquí está Juan Luis Bañón!

"Las ventanas suelen abrirse para que entre el aire y la luz a la casa y para permitir a los de dentro ver lo que hay fuera.
Esta ventana la abriste Iñaki para que, a quienes estamos fuera, nos hicieras partícipes de todo lo bueno que llevas dentro.
Te lo dice un amigo a quien no ves desde hace veintiseis años y que ahora está super orgulloso de decir que terminaba antes que tú los ocho kilómetros diarios que recorríamos por los pinares de Valladolid.
Recibe mi abrazo más fuerte y mi más profundo agradecimiento por la forma en que me trataste entonces y por permitirme ahora, después de todos estos años, poder tomarte como ejemplo.
Conmigo tienes un seguidor más.
Juan Luis Bañón. Murcia."
Este comentario en lo que era la despedida del blog me dejó pasmado. Qué pedazo de sorpresa. Quizá encontré al fin la respuesta a la típica pregunta que nos hacen tantas veces: ¿y tú, por qué corres? Pues entre otras cosas, para desquitarme de las históricas carreras que siempre perdía con Juan Luis Bañón. No solo era el más amable, el más simpático, el más inteligente, el más guapo, sino que encima me ganaba corriendo. Tú sí que eres un ejemplo a seguir, amigo.
Qué casualidad, hace unos días estaba escaneando fotos antiguas y me acordé 1 vez más de tí. Qué guapos estábamos en las faldas del Teide:

No te pierdas de vista, eh?

7.1.09

Baise-Moi

Polar français série B. VO
Réalisé par Virginie Despentes, 2000.
Avec Raphaëla Anderson et Karen Lancaume.


Nadine aime regarder des films porno, se livre à la prostitution pour avoir de l'argent, aide un toxicomane à se fournir en subutex... Manu, jeune maghrébine, tient tête aux garçons du quartier, fait des films porno... Toutes deux sont en état de choc (meurtre de son ami pour Nadine, viol pour Manu) et le hasard les fait se rencontrer. Commence alors un road-movie où elles apprennent à tuer de sang froid, à vivre une sexualité « machiste » : elles choisissent l'homme avec lequel elles veulent « baiser » et le laissent tomber après.

Un film d´auteur que a autre chose à dire que les fadaises habituelles, qui montre des choses que des gens ne veulent pas voir. Pas porno mais tout simplement crue, explicite, réaliste; cette franchise dans les scènes n'est pas l'intéret principal du film... Regardez plus loin pour découvrir le mental torturé de ces deux femmes qui fuient la vie et leur vie vers l'avant et la mort...

Aux antipodes des apologies adolescentes et américaines de la violence prise comme un sport de l'extrême, le film observe le lent suicide de ses deux personnages et les dommages collatéraux considérables qu'il entraîne sans vraiment de complaisance (...)




6.1.09

Nelly et Monsieur Arnaud

Drame. VO (st fr)
Réalisé par Claude Sautet, 1995.
Avec Emmanuelle Béart et Michel Serraut.

La rencontre entre une jeune femme en instance de divorce et désargentée et un vieux monsieur à l'aise et retiré des affaires.
Un homme trop vieux pour vivre un amour. Un joli face à face où les regards en disent aussi long que les jolis mots. L’amour platonique non pas comme un moyen ni un frein mais comme le but même.
Sautet met en place deux personnages relativement distincts : une jeune femme adroite en transition et un vieil homme riche mais désabusé. Ces deux protagonistes seront unis par le texte autobiographique de l’homme, la femme oeuvrant à sa retranscription tapuscrite. La confession déguisée de l’homme à la femme, sous les allures de la dictée, engage une relation intime qui hésite entre une accointance paternelle et un hyménée platonique.
Mais... un film dans lequel il ne se passe rien d'intéressant et où l'on s'ennuie d'un bout à l'autre.

5.1.09

Le placard

Comédie. VO (st cast)
Réalisé par Francis Veber,2001.
Avec Daniel Auteuil et Gérard Depardieu.

François Pignon, un homme au costume sombre et à l'allure discrète, est comptable dans une usine de caoutchouc, dont le secteur privilégié est le préservatif. Il est sur le point d'être licencié, lorsque sur les conseils de Belon, son voisin d'immeuble, il propage la rumeur selon laquelle il est homosexuel. Suite à ce faux coming out, les cadres de la direction décident de garder Pignon pour des raisons "politiquement correctes". Celui-ci passe brusquement pour un marginal, bien qu'il n'ait rien changé à son comportement. C'est le regard des autres qui va s'en trouvé modifié.
Beaucoup de rires, le jeu des acteurs est génial grâce à de bons dialogues. Ce ne sera pas un film mémorable, mais il a la qualité de faire passer un bon moment.



Plus d'infos sur ce film

3.1.09

8 femmes

Policier, comédie. VO (st cast)
Réalisé par François Ozon, 2002.
Avec Catherine Deneuve, Isabelle Huppert, Emmanuelle Béart et Fanny Ardant.











Dans les années cinquante, dans une grande demeure bourgeoise en pleine campagne, les gens sont sur le point de fêter Noël. Mais un drame se produit : le maître de maison est retrouvé assassiné.Le ou plutôt la coupable se cache parmi huit femmes que fréquentait régulièrement la victime. Commence alors une longue journée d'enquête, faite de disputes, de trahisons et de révélations.

On se fiche de l'intrigue, en fait inspirée d'une vieille pièce de boulevard.
Et même des personnages. Ce qui a passionné François Ozon, c'est la vérité de ses actrices. La fausse réserve de l'une, la fausse insolence de l'autre. Leur démarche. Leurs voix, musicales, s'opposant ou s'épousant.
On est à 100 lieues du réalisme, de la vraisemblance, du naturel. Ozon joue sur la volupté de l'artifice, quand il devient une sorte d'art. Entre kitsch et nostalgie.
Comme il s'agit d'abord d'un jeu, le réalisateur accentue - à mort, si l'on ose écrire - la sophistication. Les décors et les costumes, follement années 50, rendent hommage au cinéma hollywoodien. Et de petits couplets chantés interrompent l'action. Coquetterie ? Non. Puisque chaque chanson révèle la solitude des héroïnes. Avec la morale finale, qu'interprète Darrieux : « Il n'y a pas d'amour heureux. »
Entre-temps, Ozon aura - comme d'habitude, mais mieux que d'habitude - dynamité l'hypocrisie des braves gens et des bonnes moeurs.
Les huit comédiennes sont splendides. (Pierre Murat à Télérama)




2.1.09

Sansil Vallecana Popular 08

Escrito por Aitor
Árboles desnudos sobre
la pradera, el hielo y
la escarcha anterior
a las propias batallas
de Alejandro, hombre
y máquina dispuestos
a medir sus propias
fuerzas

Iba a decir algo igual
de poético para esta
foto, pero aunque Jos
sí tiene un mirar helénico,
yo me veo como un payasete
tripón, así que pasamos

El Rey Sol

En esta, y con esas pintas
parece de anuncio de telé
fonos móviles
Los tres mosqueteros y aprovecho para
presentar, el Rey Sol
es mi hermano mayor, el
helénico es mi hermano
Jos, y yo aunque salgo
más serio y guaperas
sigo con mi tripilla, causa
precisamente de que ande
en estos avatares y se
nos vea aquí media hora antes
de la salida de la San Silvestre
2008

Ale, un premio si
encuentras dónde
está Wally

Pueden ustedes ver
el fervor popular de
los momentos anteriores
a la toma de la Bastilla

A Dios rogando y la salida
esperando

En dos palabras
Im presionante

Por fin salimos
rumbo a Tordesillas,
por delante 10 km
para ganarse el solomillo
de Nochevieja antes de
despedir el año
Esperando que empiece
a moverse el cotarro
por nuestra zona
Idem para el hermano

Vivan las cadenas
gritaba el pueblo
Como siga gobernando
ZP, algún día esta cola
para salir en la san silvestre
la veréis en las oficinas
del INEM
Y empezamos a movernos:
el meneito, el meneito

El movimiento por los
primeros kilómetros
es ya el de ágiles gacelas
Te ganarás el solomillo
de Nochevieja con el
sudor de tu frente
En la anterior iba más
fresco, en esta ya se le ve perjudicado
a mi hermanito
Nada, los fusilamientos
del 3 de Mayo, ante
el peligro, pecho pa alante
Manteniendo el ritmo
de carrera a mitad de camino
Joderse, qué espaldas
tengo
Francamente sufriendo
ya por Vallecas
Queríamos bajar de
la hora y quince
y luchamos por ello
Al final lo conseguimos
pero a alguno le pasó factura
en el metro
Y otros tan frescos
y haciendo el chorra
con la hermana que
nos encontramos al
terminar