Ya leí esta novela traducida al castellano hace años, Trata sobre la condición humana, y esta vez me lancé al texto original. Me ha gustado todavía más en esta ocasión, Dejo aquí algunas citas que me ayudarán a recordarla.
Vivre sans lecture c'est dangereux, il faut se contenter de la vie, ça peut amener à prendre des risques.
Peu à peu, tout devient trop difficile; c'est à cela que se résume la vie.
Le capitalisme est dans son principe un état de guerre permanente, une lutte perpétuelle qui ne peut jamais avoir de fin
Nous avons créé un système dans lequel il est devenu simplement impossible de vivre ; et, de plus, nous continuons à l'exporter
Il est faux de prétendre que les êtres humains sont uniques, qu'ils portent en eux une singularité irremplaçable ; en ce qui me concerne, en tout cas, je ne percevais aucune trace de cette singularité. C'est en vain, le plus souvent, qu'on s'épuise à distinguer des destins individuels, des caractères. En somme, l'idée d'unicité de la personne humaine n'est qu'une pompeuse absurdité. On se souvient de sa propre vie, écrit quelque part Schopenhauer, un peu plus que d'un roman qu'on aurait lu par le passé. Oui, c'est cela : un peu plus seulement.
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